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Photographie, Aigles, animaux prédateurs, Lapins, Animaux chasseurs, Istanbul (Turquie), Bas-reliefs, Dixième siècle
Bas-relief retrouvé à Istanbul, Xe siècle, représentant un aigle, ailes déployées, capturant un lapin (British Museum, Londres).
Gravure, animaux prédateurs, Animaux sauvages, Antilopes, Chasse, Ernest Thompson Seton (1860-1946), Coyote
Antilopes et coyote, "Les Américains à quatre-pattes et leur famille" (Four-footed Americans and their kin), 1898, par Ernest Thompson Seton (1860-1946).
Dessins et plans, animaux prédateurs, Populations, Probabilités, Prédateurs et proies, Biologie des populations, Équations, Équations d'évolution, Équations différentielles
Courbes d'évolution d'un système complexe, formé de deux espèces, proie et prédateur : équations de Lotka-Volterra. L'effectif des proies est x(t), celui des prédateurs y(t) . On retombe sur le cas précédent si y est nul. La quantité x(t)y(t) est une probabilité de rencontre, qui influe négativement sur une population (les proies), positivement sur l'autre (les prédateurs). À chaque instant, connaissant les populations en présence, on peut décrire la tendance. Ces deux équations sont couplées c'est-à-dire qu'il faut les résoudre ensemble. Mathématiquement, il faut les concevoir comme une seule équation d'inconnue le couple (x(t),y(t)) . Si l'effectif initial des populations est connu, l'évolution ultérieure est parfaitement déterminée. Elle se fait le long d'une des courbes d'évolution figurées ci-contre, qui laissent apparaître un comportement cyclique.
Photographie, Plages, animaux prédateurs, Zoologie, Astérides, Biologie marine, Étoiles de mer, Échinodermes, Grèves (plages), Holothuries
Étoile de mer commune (Asterias rubens). Les étoiles de mer (Asteroidea) forment une classe d'échinodermes. On dénombre au moins 1 500 espèces réparties dans plus de 30 familles vivant dans tous les océans. Elles ont généralement 5 bras, mais peuvent en avoir plus. Celles-ci ont une espérance de vie d'environ 4 à 5 années. Elles sont un symbole maritime important. L'espèce la plus répandue et la plus étudiée est l'étoile de mer commune. Certaines espèces ont la possibilité de se régénérer, c'est-à-dire la capacité de faire repousser un ou plusieurs de leurs bras si elles en sont détachées. Un bras perdu peut être régénéré en moins d'un mois. Elle se nourrit grâce à son orifice buccal, situé sur sa face ventrale et composé de cinq « dents ». Ses pièces buccales sont d'ailleurs un élément qui sert pour sa classification. L'étoile de mer est principalement un prédateur, mais quelques espèces sont filtreurs. Son régime alimentaire est principalement constitué de proies immobiles ou se déplaçant lentement.
Le Glouton ou Carcajou (Gulo gulo) est une espèce de mammifère omnivore, mais surtout carnivore, de la famille des mustélidés. Il ressemble à un petit ours (10 à 15 kg) ayant une queue velue. Bien adapté à la vie de charognard, le glouton a des dents et des mâchoires robustes qui lui permettent de broyer de gros os et de manger de la viande gelée. Son odorat très fin lui permet de détecter la présence de nourriture sous une épaisse couche de neige.
Gravure, Brebis, laine, Grands-mères, Tam-tam (tambour), Agneaux, animaux prédateurs, Contes indiens (de l'Inde), Relations entre frères, Animaux prédateurs -- Lutte contre
Illustration par J. D. Batten du conte indien "L'agnelet" (The Lambikin), "Fairy Tales of India" (1892) de J. Jacobs (1854-1916) : après avoir bien mangé chez sa grand-mère, l'agnelet se fait faire un tambour bien rembourré dans lequel il va se cacher pour essayer d'échapper aux prédateurs qui le guettent.
Gravure, Renards, Sanglier, animaux prédateurs, Peintres allemands, Colère, Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Fedor Flinzer (1832-1911)
Le renard et le sanglier, Die Gartenlaube (1879) b 017, par Fedor Flinzer (1832-1911).
Photographie, Zèbres, Mammifères, animaux prédateurs, Muséums, Leyde (Pays-Bas), Collections de sciences naturelles, Animaux naturalisés, Lycaon (espèce), Lycaon pictus
Le zèbre pourchassé par le lycaon (Lycaon pictus), musée Naturalis de Leyde.
loup, Gravure, animaux prédateurs, Animaux sauvages, Prédation (biologie), Littérature de jeunesse, Ernest Thompson Seton (1860-1946), Acariens déprédateurs
Loup guettant sa proie en hiver, "Les Américains à quatre-pattes et leur famille" (Four-footed Americans and their kin), 1898, par Ernest Thompson Seton (1860-1946).
Méduse échouée sur la plage : une méduse est formée d'une calotte appelée ombrelle et d'un axe vertical (manubrium), fixé au centre de la face inférieure. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9duse_%28animal%29.
Photographie, Manchots (oiseaux), Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Biologie animale, Pétrels, Affrontements
Affrontement entre un manchot papou (Pygoscelis papua) et un pétrel géant (Macronectes giganteus).
Photographie, Insectes, Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Criquet pèlerin, Biologie animale, Schistocerca gregaria
Araignée (Chromatopelma cyaneopubescens) femelle à la poursuite d'un criquet pélerin (Schistocerca gregaria).
Autotomie du lézard. L'autotomie est la capacité qu'ont certains animaux de perdre une partie de leur corps volontairement, en particulier certains reptiles et invertébrés, pour échapper à un prédateur. Certains rongeurs peuvent aussi perdre une partie de leur queue. Il s'agit d'une stratégie de défense consistant à abandonner volontairement une partie non vitale de son corps (en général la queue, mais parfois un membre, de la peau…) afin d'échapper à un prédateur. La perte se produit soit lorsque la partie du corps est déjà prise par le prédateur (il s'agit alors de se libérer pour fuir) soit avant une attaque afin de créer une diversion. Le membre se sépare en général à des endroits pré-établis de l'anatomie de l'animal. Ce sont la plupart du temps des articulations de la queue ou des membres. Selon les espèces, la partie abandonnée peut repousser, tel la queue du lézard. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autotomie En général le membre abandonné reste agité de mouvements réflexes, donnant une illusion de vie et occupant le prédateur.
Photographie, Reptiles, Caméléons, Biologie animale, Sauriens, Chamaeleonidae, Namaqualand (Afrique du Sud), Chromatophores, Déserts -- Namibie, Faune des déserts
Caméléon de Namaqua (Chamaeleo namaquensis) dans le désert de Namibie : pour se protéger de ses prédateurs, il peut adapter sa couleur à son environnement (chromatophore).
Photographie, Reptiles, Caméléons, Biologie animale, Namibie, Sauriens, Chamaeleonidae, Namaqualand (Afrique du Sud)
Caméléon de Namibie (Chamaeleo namaquensis). Son nom d'espèce, composé de namaqu[aland] et du suffixe latin -ensis, "qui vit dans, qui habite", lui a été donné en référence au lieu de sa découverte : le Namaqualand. Il vit dans des milieux arides. Il peut atteindre 63,50 cm. On peut le voir marcher au sol. Il s'est adapté aux changements climatiques. Ses prédateurs sont le faucon, le chacal et l'aigle ; près des habitations humaines, le chat et le chien. Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Namaqua_chameleon
Dessins et plans, Oiseaux, Animaux, Oiseaux prédateurs, Animaux -- Comportement alimentaire, Animaux -- Alimentation, Chaînes alimentaires, Animaux marins, Animaux -- Adaptation à la vie terrestre, Animaux -- Écologie, Animaux -- Préférences alimentaires, Oiseaux rapaces
Chaîne alimentaire animale entre mer, terre et air. Source : http://www.fcps.edu (ecology on islandcreeks, CK-12 project)
Photographie, Chats, Humour, Murs, Poissons, Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Arts décoratifs, Bali (Indonésie), Art contemporain, Graffitis, Animaux -- Dans l'art
Chat allongé au pied d'un mur décoré d'un graffiti représentant une tête de chat bicolore tenant les restes d'un poisson entre les dents. Padangbai, Bali, Indonésie.
Photographie, Coccinelles, Pucerons, Animaux -- Alimentation, Animaux -- Alimentation -- Besoins, Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Biologie animale, Entomologie, Coccinellidae
Coccinelle ayant isolé des pucerons (Aphidoidea) au bout de feuilles de rosiers, et s’apprêtant à les manger.
Photographie, Mollusques -- Coquilles, Escargots, Animaux -- Alimentation -- Besoins, Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Biologie animale, Hélicidés, Malacologie, Merles
Coquilles d'escargots (Cepaea hortensis et Cepaea nemoralis) : les merles lancent les escargots sur des surfaces dures où les coquilles se cassent et mangent la chair.
Photographie, Lézards, Reptiles, Animaux -- Alimentation -- Besoins, Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Couleuvres
Couleuvre de Montpellier (Malpolon monspessulanus) avalant un lézard (Podarcis hispanica).
Photographie, Jardins, Escargots, Mollusques, Animaux -- Alimentation -- Besoins, Hélicidés, Malacologie
Escargot des jardins (Cepaea hortensis) sur une feuille. Son habitat est très varié, on le trouve dans les bois et les prairies, les haies et les dunes. Il apprécie les feuilles d'arbres fruitiers tels que le pommier. Il possède comme prédateur la grive musicienne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Escargot_des_jardins.
Photographie, Jardins publics, Architecture contemporaine, Gîtes touristiques, Pessac (Gironde), Fermeture de décharges contrôlées
Le tronc creux, gite conçu par Yvan Detraz, Bruit du frigo, 2013, réalisation : Zébra3/Buy-Sellf. Dans le parc du Bourhailh, Pessac-33. Refuge en forme de tronc d’arbre, en acier et bois, comme oublié là après une coupe d’arbres géants. « Les troncs et les arbres creux sont des refuges naturels pour de nombreux animaux, à la fois nids, abris contre le froid ou cachettes pour échapper aux prédateurs, mais ils sont aussi des symboles de vie comme de mort, de protection comme de menace. Le mystère qui les entoure a toujours stimulé l’imaginaire des hommes, inspirant légendes et contes folkloriques, servant d’habitats pour les ermites, de lieux de sabbat pour les sorcières… ». Le site fut auparavant une décharge et les écorces qui la recouvrent prennent la forme de crampons rappelant eux-mêmes les roues des compacteuses, ces engins utilisés pour broyer et tasser les détritus.
Inselberg de Granite de la région de Mbalabala au Zimbabwe. Les kopjes sont souvent occupés par de nombreux animaux, telles que les éléphants, les lions ou les guépards. Paradoxalement, on constate que de nombreux herbivores y viennent car la surélévation des lieux permet de voir venir les prédateurs de loin, alors que ces mêmes prédateurs les utilisent pour pouvoir guetter leurs futures proies.
Photographie, Coccinelles, Ailes, Coléoptères, Biologie animale, Entomologie, Coccinellidae, Charmes (plantes)
Jeune coccinelle asiatique (Harmonia axyridis). Lieu : Parc urbain de la Citadelle, Lille (03 juin 2007), sur le flanc d'une branche de charme, environ 1,50 m au dessus du niveau du sol. Les ailes se déplient et se forment. La coccinelle doit les sécher durant plusieurs heures. Leur couleur jaune signale aux prédateurs une toxicité ou un mauvais goût. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Coccinelle_asiatique.
Le Kangourou roux (Macropus rufus) est le plus grand des kangourous. Animal emblématique de l'Australie, il apparaît sur les armoiries du pays. Il a deux bras antérieurs réduits avec de petites griffes et deux pattes arrière puissantes lui permettant des bonds de 12 m de long. La queue très puissante sert de balancier pour la course ou d'appui pour le repos. C'est un animal vivant en petits groupes dirigés par un vieux mâle, passant les heures chaudes de la journée à l'ombre à dormir, à se reposer, à essayer de se rafraîchir en haletant, transpirant, se léchant pour faire évaporer sa salive, s'aérant en agitant les bras. Il mène une vie active du coucher du soleil au lever du jour. Les kangourous se déplacent par petits bonds, à une vitesse de croisière d'environ 30 km/h, et peuvent alors parcourir de longues distances. En cas de danger, ils peuvent passer à la vitesse supérieure et courir en zigzags très rapides, jusqu'à 60 km/h en moyenne avec des pointes à 80 - 90 km/h sur de très courtes distances. Parfois, ils peuvent faire des sauts aériens, jusqu'à 3,50 mètres de haut et 13 mètres en longueur, grâce à leurs ressorts et leurs longues pattes fines. Avec leurs grande rapidité et leurs agilité à bondir, ils n'ont pas vraiment de prédateurs (hormis l'homme qui le chasse avec des armes à feu).
Textes, été, Insectes, Biologie, Proies et prédateurs, Mantes religieuses, Accouplement (comportement animal), Nids, Jean-Henri Fabre (1829-1915)
De l'oothèque à l'accouplement, le cycle de vie de la mante religieuse, à partir des observations de Jean-Henri Fabre (1829-1915), Souvenirs entomologiques. Niveau cycle 3 ; 943 mots.
Photographie, Animaux des savanes, Lynx (espèce), Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Savanes, Lapins, Biologie animale, Savanes -- Faune
Lynx (Lynx rufus), Parc national de Montana de Oro en Californie, tenant un lapin du désert (Sylvilagus audubonii).
Photographie, Coccinelles, Pucerons, Insectes -- Larves, Animaux -- Alimentation, Animaux -- Alimentation -- Besoins, Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Biologie animale, Entomologie, Coccinellidae
Larve de coccinelle asiatique (Harmonia axyridis) mangeant un puceron sur une feuille.
Photographie, Coccinelles, Insectes -- Larves, Biologie animale, Entomologie, Coccinellidae, Charmes (plantes), Nymphes (entomologie), Pupes
Environ trente pupes de coccinelles asiatiques (Harmonia axyridis) sous une grosse branche de charme. Parc urbain de la Citadelle, Lille (dimanche 3 juin 2007, 15:18:04). C'est une quantité tout à fait inhabituelle. Pupe = 4e stade larvaire (équivalent des chrysalides de papillons). Comme souvent chez les Coccinellidae, la chrysalide est accrochée à une feuille ou branchette sans être protégée du soleil, des intempéries ou prédateurs. Les restes d’exuvie du 4e stade sont attachés à l'extrémité postérieure de la chrysalide, au point d’attache sur le substrat. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Coccinelle_asiatique
Gravure, Coq, Poussins, Poules, Rapaces, Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Animaux -- Dans l'art, Wenceslas Hollar (1607–1677)
Le coq et la poule défendent leurs poussins attaqués par un oiseau de proie, par Wenceslas Hollar (1607–1677).
Textes, Grues (oiseaux), Contes indiens (de l'Inde), Poissons, Proies et prédateurs, Djataka, Fables indiennes (de l'Inde), Crabes d'eau douce, Sécheresses, Effets sur les animaux des
Conte de Djataka, "Le crabe et la grue", traduction Annie Lesca. 712 mots. Narration et dialogues, à partir du CE1.
Limace léopard (limax maximus) pondant ses oeufs. La limace léopard a une longueur d'environ 13 cm1, certains auteurs lui donnent même une longueur maximum de 20 cm2. La limace léopard est de couleur grise ou brun clair. Son bouclier est moucheté de taches noires d’environ 3 mm, et ces taches sont alignées et peuvent ressembler à des rayures longitudinales sur la queue. Ces limaces ont une longévité de 2 ans et demi à trois ans. La ponte comporte une à trois centaines d’œufs selon la taille et l’état de santé de la mère. Les œufs sont légèrement allongés, de 4 à 5 mm de diamètre, et éclosent entre 19 et 45 jours selon les conditions climatiques, et peuvent être détruits par de nombreux prédateurs qui en sont friands. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Limax_maximus
Photographie, Méduses, Aquariums marins, Cnidaires, Animaux marins, Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Métazoaires
Méduses dans l'aquarium d'Atlanta. Très souvent fuie à cause de ses cellules urticantes, la méduse a néanmoins des prédateurs. Les deux plus grands consommateurs de méduses sont la tortue Luth dont elle est le mets favori, et le poisson lune. Le thon rouge en est aussi très friand. Dans une moindre mesure, des crustacés apprécient le cadavre de certaines espèces. La surpêche ou la disparition des espèces prédatrices des méduses (thons, harengs, anchois, tortues), la disparition de leurs concurrentes telles que les sardines qui augmentent la quantité de nourriture disponible, « la destruction des fonds marins par les chalutiers qui favorise leur reproduction, le réchauffement des eaux, et l'eutrophisation des milieux côtiers » stimulent leur prolifération, au point que les chercheurs Philippe Cury et Daniel Pauly font la conjecture provocatrice qu'« il nous faudra nous contenter de manger des méduses ! » Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9duse_%28animal%29 ; Philippe Cury et Daniel Pauly, Mange tes méduses !, Éditions Odile Jacob, 2013, 224 p.
Photographie, Oiseaux, Animaux, Passériformes, Oiseaux insectivores, Oiseaux des jardins, Moineau domestique, Passer
Le Moineau domestique (Passer domesticus) est une espèce de petits passereaux de la famille des Passeridae. C'est un petit oiseau assez trapu, mesurant environ 16 cm de long pour un poids allant de 24 à 39,5 g. Les femelles et les jeunes oiseaux sont de pâles, colorés de brun et de gris, tandis que les mâles sont plus vifs, avec des marques noires, blanches et brunes. Il se nourrit majoritairement de céréales et d'autres graines, mais sait s'adapter et tirer profit d'autres opportunités, consommant divers invertébrés, les insectes en premier lieu, qui servent par ailleurs d'alimentation de base aux oisillons. Ses prédateurs principaux sont les chats domestiques, les rapaces et les mammifères.
L’okapi se nourrit de feuilles, de divers végétaux différents (dont l’euphorbe, particulièrement toxique pour l’homme), de bourgeons, de branches tendres, de fruits, de champignons et de fougères. Il cueille sa nourriture à l’aide de sa langue et de ses lèvres préhensiles. Il comble ses besoins en minéraux en mangeant de l’argile sulfureuse qu’il trouve près des rivières ou des graminées poussant sur des sols hautement minéralisés. L’okapi est un animal discret et solitaire qui ne fréquente ses pairs qu’au moment de la reproduction. On compte généralement deux individus au km². Sédentaire, il vit sur un territoire qu’il marque par des dépôts d’urine et des sécrétions issues de glandes situées entre ses doigts. Il emprunte toujours les mêmes pistes de passage qu’il a ainsi marquées. C’est un animal essentiellement nocturne dont le principal prédateur est le léopard. Ses oreilles très grandes lui permettent d'entendre le moindre bruit en cas d'attaque.
L'opossum d'Australie (Trichosurus vulpecula), appelé Phalanger-renard ou Opossum à queue en brosse, et localement « possum » est une espèce de petit marsupial arboricole australien à queue préhensile qui se nourrit de feuillages et de fruits mais aussi d'insectes, d'œufs et d'oisillons. Introduit en Nouvelle-Zélande pour sa fourrure, il y est à présent considéré comme une espèce invasive car, sans prédateur sur cette île, il pille les nids, blesse les arbres et transmet la tuberculose bovine.
Gravure, Chouettes, souris, Peintres allemands, Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Animaux nocturnes, Fedor Flinzer (1832-1911), Attaques de panique
Panique nocturne chez les souris, Die Gartenlaube (1879) b 733, par Fedor Flinzer (1832-1911).
Photographie, Papillons, Afrique, Insectes, Biologie animale, Arctiidés, Casamance (Sénégal), Arctiidae
Euchromia guineensis pris en photo à Boucotte en Casamance (Sénégal). Les Arctiidae (du grec αρκτος = ours) (ou Écailles) sont une famille de lépidoptères hétérocères dont les couleurs voyantes préviennent les oiseaux et autres prédateurs de leur toxicité. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Arctiidae
Photographie, Afrique du Sud, Mammifères, Réserves naturelles, Camouflage, Guépards, Félins, Jeunes animaux
Petit guépard (Acinonyx jubatus), réserve de Sabi Sand en Afrique du Sud. Les jeunes guépards possèdent un manteau de poils ressemblant à une crinière le long de leur dos. On suppose que ce manteau permet un meilleur camouflage des petits dans l'herbe. Ce pelage, qui les fait ressembler à un ratel, un féroce blaireau, serait une manière d'éloigner les prédateurs. Le manteau commence à disparaître à trois mois, mais peut encore être vu à l'âge de deux ans. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gu%C3%A9pard.
Photographie, Afrique du Sud, Apprentissage chez les animaux, Mammifères, Mères et enfants, Réserves naturelles, Félins, Jeunes animaux, Gépards
Petit guépard et sa mère allongés dans l'herbe, réserve de Sabi Sad en Afrique du Sud. Le taux de mortalité infantile est très élevé : durant les premières semaines après la naissance, jusqu'à 70 % des jeunes sont tués par d'autres prédateurs. Les petits commencent à suivre leur mère à l'âge de 6 semaines. Ils sont sevrés à trois ou six mois. Ils restent en général avec leur mère pendant 13 à 20 mois, période pendant laquelle elle leur apprend à chasser. Les membres d'une fratrie peuvent parfois demeurer plusieurs mois ensemble.
Petit koudou femelle (Tragelaphus imberbis) broutant avec son petit. Le petit koudou est une antilope de taille moyenne, très élancée, fine et haute sur pattes, mais plus petite que son cousin le Grand koudou. Les petits koudous vivent dans une grande aire de répartition situé à l'Est de l’Afrique. Le petit koudou aime les acacias, les brousses denses des zones semi-arides. Les petits koudous ne possèdent pas de territoire, mais un domaine vital d'environ 200 hectares. Les petits koudous sont des herbivores phytophages et opportunistes. Ils se nourrissent de feuillages, pousses, bourgeons, tubercules, fruits, racines et un peu d'herbes. Ils boivent régulièrement, mais peuvent se passer d'eau pendant de longues périodes. Léopards, guépards, lycaons, lions ensuite les babouins et les pythons s'attaquent aux jeunes. Animal vigilant, doté d'une bonne vue diurne, d'un bon odorat et d'une ouie très fine. Le petit koudou est un coureur rapide ainsi qu'un bon sauteur. Il peut bondir jusqu'à 2 mètres de hauteur et jusqu'à 7 mètres en longueur. Il court à 30 km/h en vitesse normale, mais peut accélérer en cas de danger et atteindre environ 70 km/h de moyenne sur une course de vitesse ou un sprint avec des pointes maximales proches de 100 km/h sur une courte distance, qui lui permet de semer ses prédateurs.
Gravure, Calmars, Mollusques, Latin (langue), Savants allemands, Octopodes, Art nouveau (décoration), Nature (esthétique), Naturalistes, Ernst Haeckel (1834–1919), Art et nature, Faune marine
Planche de céphalopodes Gamochonia, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 54 : Chiroteuthis veranyi, Histioteuthis rüppellii, Pinnoctopus cordiformis, Octopus vulgaris, Octopus granulatu. Les céphalopodes (Cephalopoda, du grec képhalé, la tête, et pous, podos, le pied) sont des animaux de l'embranchement des mollusques, dont le pied, divisé en bras, surmonte la tête. Leur tête, distincte de la masse viscérale, comporte un véritable cerveau contenu dans un crâne cartilagineux ; des yeux perfectionnés, un bec corné, etc. Leur pied, qui s'attache à la tête, est divisé en bras munis de ventouses. Le manteau ventral, contractile, constitue avec le siphon un puissant organe de locomotion. Les céphalopodes existent depuis la fin du Cambrien, il y a 500 millions d'années. Les céphalopodes actuels sont des prédateurs marins. Ils se nourrissent de mollusques, de poissons, et de crustacés. Ils tiennent leur proie avec leurs bras, et la déchiquettent avec leur bec corné. Quand ils sont sédentaires, on peut facilement repérer leur présence par l'amas de coquilles vidées devant leur trou. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A9phalopode
Grenouilles, Peinture, Sargasses, Mer des, Animaux -- Mimétisme, Mimétisme, Poissons prédateurs, Prédation (biologie), Proies et prédateurs, Stratégies anti-prédateurs
Poisson-grenouille des Sargasses (Histrio histrio). L'aspect inhabituel du poisson-grenouille est conçu pour le cacher contre les prédateurs et parfois pour imiter un repas potentiel de sa proie. En éthologie, l'étude du comportement animal, c'est ce qu'on appelle un mimétisme agressif. Leur forme inhabituelle, les couleurs et les textures de la peau servent de déguisement au poisson-grenouille, coloré pour se fondre dans les sargasses environnantes. Pour le poisson-grenouille, sans écailles et sans protection, le camouflage est un moyen important de défense contre les prédateurs. Les nageoires du Poisson-grenouille des sargasses peuvent saisir des touffes de sargasses, lui permettant d'y grimper. En général, le poisson-grenouille ne bouge pas beaucoup, préférant se poser sur le fond et attendre qu'une proie approche. Une fois que la proie est repérée, il s'approche lentement à l'aide de ses nageoires pectorales et pelviennes qui lui permettent de marcher. Il peut utiliser deux types d'allures. Avec la première, il déplace alternativement ses nageoires pectorales vers l'avant, cette propulsion est analogue à la démarche d'un bipède tétrapodes, car il n'utilise pas ses nageoires pelviennes. Alternativement, il peut se déplacer avec une sorte de galop lent, en déplaçant ses nageoires pectorales simultanément en avant et en arrière, le transfert de leur poids aux nageoires pelviennes tout en déplaçant les pectorales. Mais quelle que soit la démarche, il ne peut parcourir que de courtes distances.